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Consultezavis sur ASSOCIATION SPORTIVE GOLF SANOFI PASTEUR France. Informations sur les revenus, la gestion, l'atmosphĂšre! ☰ Avis d'entreprises; Gains dans les entreprises; Blog; À propos de nous; Pour les entreprises; ASSOCIATION SPORTIVE GOLF SANOFI PASTEUR. Val-de-Reuil SIREN: 527920110. ActivitĂ©: ActivitĂ©s de clubs de sports. Note de ChezSanofi, nous poursuivons les miracles de la science pour amĂ©liorer la vie des gens. En France, ce sont plus de 20 000 hommes et femmes passionnĂ©s qui, sans relĂąche, repoussent leurs limites pour transformer la pratique de la mĂ©decine et amĂ©liorer la santĂ© des patients avec des mĂ©dicaments et vaccins.. La volontĂ© de faire progresser la science est notre force. Fonctionnementde la Charte; RĂ©glement de la charte. Signer la Charte. Recherche & Innovation. Faire Ă©merger les projets. Le rĂ©seau Cosmetic Valley; ComitĂ© d’Expertise Scientifique; Connexion R&D. Accompagnement de projets R&D. IngĂ©nierie de projets; La labellisation des projets; Accompagnement des entreprises innovantes. Promouvoir vos 104offres d'emploi - secteur Chimie-parachimie -. Directeur de Production Chimie Lourde H/F Nouveau. Michael Page. CDI Val-De-Reuil. PubliĂ© il y a 17 heures. En tant que Directeur de Production Chimie Lourde, membre du ComitĂ© de Direction de l'usine et directement rattachĂ© au Directeur de Site, vous ĂȘtes le garant de la bonne rĂ©alisation Ace jour, Sanofi Pasteur en a produit 15 millions de doses sur ses sites de Marcy-l'Etoile et Val-de-Reuil (Eure). La plupart pour l'export, la commercialisation d'Hexyon en Site De Rencontre Gratuit Tchat En Direct. Val-de-Reuil 1er producteur mondial de vaccins contre la grippe Créé en 1973, le site de Val-de-Reuil Eure concentre toutes les Ă©tapes de production d’un vaccin fabrication d’antigĂšnes, formulation, remplissage des seringues ou flacons et conditionnement, puis distribution. Le site est le 1er producteur mondial de vaccins contre la grippe saisonniĂšre et pandĂ©mique. Chaque annĂ©e, 60% de la production mondiale de vaccins grippe de Sanofi y est rĂ©alisĂ©e. Le site de Val-de-Reuil est Ă©galement le centre mondial de distribution des vaccins de Sanofi, exportant chaque annĂ©e 600 millions de doses de vaccins. Se protĂ©ger contre la grippe Maladie trĂšs contagieuse, la grippe est souvent considĂ©rĂ©e comme une maladie bĂ©nigne. Pourtant, elle est pourtant responsable de 10 000 dĂ©cĂšs par an, en moyenne. Outre le vaccin grippe, le site assure la production du vaccin contre la fiĂšvre jaune, pour les habitants de pays endĂ©miques et les voyageurs. Il est aussi la principale unitĂ© de production du vaccin contre la rage de Sanofi, distribuĂ© dans plus de 100 pays. Le site assure Ă©galement la formulation, la rĂ©partition et le conditionnement de vaccins contre de nombreuses maladies telles que la poliomyĂ©lite, la coqueluche, la mĂ©ningite, le tĂ©tanos, la diphtĂ©rie, les hĂ©patites et la dengue. Le site de Val-de-Reuil, qui rassemble plus de 2 400 collaborateurs sur une superficie de 30 hectares, est en constante Ă©volution plus de 700 M€ ont Ă©tĂ© investis sur le site depuis 2006. Voie de l’institut, BP 101, 27 101 Val-de-Reuil Cedex – TĂ©lĂ©phone 02 32 09 67 00 Nos collaborateurs parlent de leur mĂ©tier Technicien automaticien un rĂ©fĂ©rent opĂ©rationnel essentiel C’est sur notre site de Val-de-Reuil que Yohann exerce son mĂ©tier. Il nous explique en quoi consiste la maintenance et illustre le rĂŽle crucial de son mĂ©tier dans le bon fonctionnement de notre site. DĂ©couvrez un mĂ©tier aux multiples compĂ©tences ! A lire aussi ! Croissy-Beaubourg 30 ans d’export sans dĂ©tour Croissy-Beaubourg est en France le seul site de distribution de Sanofi dĂ©diĂ© Ă  l’export de produits pharmaceutiques. En 30 ans, il a su s’imposer comme le fleuron export du groupe. Retour sur ses expertises avec son directeur, Simon Ducro. Sanofi au cƓur de l’écosystĂšme digital de la Nouvelle-Aquitaine DĂ©couvrez notre site de Saint-LoubĂšs et notre Campus Ă  Bordeaux au cƓur de la CitĂ© NumĂ©rique le dĂ©fi rĂ©ussi de l’innovation conjointe AmbarĂšs 50 ans de prouesses À l’origine de mĂ©dicaments majeurs exportĂ©s dans le monde entier pour soigner les maladies cardiovasculaires et l’épilepsie, le site de production d’AmbarĂšs fĂȘte ses 50 ans. A Sisteron, Sanofi construit la chimie pharmaceutique de demain Le site de chimie pharmaceutique de Sisteron se prĂ©pare Ă  assurer les lancements de molĂ©cules de nouvelle gĂ©nĂ©ration avec sa future UnitĂ© de Lancement de Petits Volumes ULPV. Explications. Questions et rĂ©ponses sur les salaires chez SanofiLe salaire annuel moyen chez Sanofi se situe entre 33 249 € pour un Technicien de maintenance et 100 120 € pour un Director. Les employĂ©s chez Sanofi donnent une note de 3,8 /5 Ă  l'ensemble des rĂ©munĂ©rations et avantages sociaux. Le salaire le plus Ă©levĂ© chez Sanofi est de 100 120 € par an pour un salaire le plus bas chez Sanofi est de 33 249 € par an pour un Technicien de maintenance. 10 prioritĂ©s pour Val-de-Reuil, et un tour d’horizon de l’annĂ©e Ă  venir l’intervention de Marc-Antoine Jamet devant les partenaires de la ville Discours des vƓux aux partenaires de Marc-Antoine Jamet, Maire de Val-de-Reuil Vice-prĂ©sident du Conseil rĂ©gional de Haute-Normandie le Jeudi 22 janvier 2015 au stade Jesse OWENS Chers amis, Les voix que vous venez d’entendre sont celles d’un groupe de notre territoire Amazing Blue. C’est une formation du SIEM, notre Ă©cole de musique, devenue un conservatoire reconnu par l’Etat, grĂące au travail accompli par son directeur Laurent Meunier, Ă  la volontĂ© farouche de Nathalie Covacho-Bove et peut-ĂȘtre aussi Ă  l’action de la municipalitĂ© auprĂšs du MinistĂšre de la Culture, du dĂ©partement qui nous donna l’ancien collĂšge Alphonse Allais pour hĂ©berger musiciens et Ă©lĂšves et de la rĂ©gion qui Ă©quipa nos studios de musique actuelle. L’union fait la force. Cette labellisation Ă©tait une des nombreuses bonnes nouvelles de 2014. Pourquoi cette sĂ©rĂ©nade ? La rĂ©ponse est simple. A la diffĂ©rence de Fidel Castro, dont seul ce point me sĂ©pare comme chacun sait, je ne souhaitais pas uniquement partager un discours avec vous, mais vous montrer, comme nous le faisons chaque annĂ©e, une des facettes de la vie rolivaloise. Un mot Ă©galement sur les images que vous avez aperçus. Ce sont les quatre actrices du film de CĂ©line Sciamma Bande de filles » dansant loin de leurs soucis et des difficultĂ©s de leur vie sur Diamonds in the sky », la chanson de Rihanna. Elles ont une force, un dynamisme et une sĂ©rĂ©nitĂ© communicatives qui fait du bien en ce dĂ©but d’annĂ©e troublĂ©e. Je suis, comme depuis 15 ans, Ă  pareille Ă©poque, trĂšs heureux de vous accueillir, malgrĂ© une mĂ©tĂ©o glaciale. Nous sommes au stade Jesse Owens de Val-de-Reuil. Ce lieu que vous ne connaissiez peut-ĂȘtre pas encore porte le nom d’un bel athlĂšte noir amĂ©ricain, afro-amĂ©ricain pour employer les termes d’aujourd’hui, d’un homme intelligent, Ă©lĂ©gant et convainquant. Hitler refusa de lui serrer la main Ă  Berlin en 1936. Le dictateur nazi ne supportait pas que, en montant sur la premiĂšre marche d’un podium olympique, ce sprinter Ă©tablisse, par la simple couleur de sa peau, la stupiditĂ© de la thĂ©orie des races et rĂ©tablisse une vĂ©ritĂ© Ă©ternelle et universelle qui est l’égalitĂ© entre tous les hommes. C’est un symbole de ce que, avec mes 32 collĂšgues de la majoritĂ©, de la dissidence et de l’opposition, que vous me permettrez de saluer sans attendre pour leur dĂ©vouement gĂ©nĂ©ral Ă  l’égard de nos concitoyens et pour leur bienveillance particuliĂšre Ă  mon endroit, nous tentons de faire vivre, quotidiennement, dans notre Ville aux 6000 Ă©lĂšves, aux 60 nationalitĂ©s, aux 4000 hectares, aux 22000 heures d’ouverture des Ă©quipements sportifs, aux seulement cinq naissances puisque nos berceaux sont Ă  Elbeuf ou Ă  Louviers, qui fĂȘtera en 2015 les quarante annĂ©es de sa jeune existence
 Cet Ă©quipement est exceptionnel, d’abord parce qu’il nous abrite, et ensuite en raison de stature rĂ©gionale, si ce n’est nationale. Il possĂšde une piste de 100 mĂštres indoor dont on me dit qu’elle n’a pas d’équivalent en Europe sauf Ă  Helsinki. Notre commune, parce qu’elle ne croit plus au PĂšre NoĂ«l et qu’elle n’est pas infestĂ©e de moustiques, a d’ailleurs rĂ©cemment dĂ©clinĂ© l’honneur d’ĂȘtre la capitale de la Finlande. Je dois vous avouer Ă©galement que nous ne sommes pas non plus encore entiĂšrement certains de devenir, devant Rouen et Caen, avec seulement habitants, la capitale de la Normandie unie. Je peux vous confier cependant, car nous sommes entre nous, que notre dossier a Ă©tĂ© secrĂštement dĂ©posĂ© auprĂšs du seul candidat connu et reconnu Ă  ce jour Ă  la fois par la Basse et la Haute rĂ©gions, je veux parler de mon ami Mayer-Rossignol qui examine cette Ă©ventualitĂ© concurremment avec notre projet de port en eau profonde et notre idĂ©e de terminal pĂ©trolier, dont les olĂ©oducs, avec la permission de son maire, passeraient au Vaudreuil. Tout comme le meilleur prĂ©sident de Conseil GĂ©nĂ©ral que l’Eure a connu, mon autre ami Destans, j’espĂšre qu’ils seront réélus en mars et en dĂ©cembre prochains. J’ai bon espoir. Je crois au mĂ©rite. Leur bilan est excellent. Leur Ă©quipe est remarquable. Leur programme est le meilleur et, c’est un pur jugement de valeurs, je trouve la concurrence plutĂŽt pĂąlichonne, pour ne pas dire faiblarde. Dans combien de mairies de Droite ou de Gauche, du Centre ou de nulle part, ai-je entendu saluer de la mĂȘme façon le charisme de Jean Louis et la compĂ©tence de Nicolas ? A mes yeux, en toute objectivitĂ©, sans le moindre parti pris, sans le moindre prĂ©jugĂ©, ce ne serait que justice s’ils l’emportaient. C’est mon vƓu pour 2015. En attendant ce jour bĂ©nit, pour rester pragmatique, je voudrais vous prĂ©ciser que la plus jeune commune de France assure, seule, les coĂ»ts de fonctionnement du bĂątiment qui nous reçoit. Val-de-Reuil en est ainsi devenu, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, le premier financeur et, sans une parfaite gestion, des Ă©conomies permanentes, des mutualisations avec d’autres missions, la compĂ©tence des agents du service des sports sous la direction Ă©clairĂ©e de Yannick Mesnil que je remercie, puis de Pascale Ravaux qui lui a succĂ©dĂ© rĂ©cemment sous l’autoritĂ© de Rachida Dordain, notre Ville Nouvelle ne serait jamais parvenue Ă  supporter un tel choc budgĂ©taire. Pour autant, nous ne dĂ©sirons pas spĂ©cialement persister dans la performance. Si, d’aventure, elle le proposait, nous accepterions avec joie que la communautĂ© d’agglomĂ©ration Seine-Eure, certes aprĂšs la quintuple piscine de Louviers, aprĂšs la patinoire de Louviers cela va de soi, aprĂšs le ball-trap de Louviers rien de plus normal, aprĂšs le boulodrome de Louviers, comment pourrait-il en ĂȘtre autrement, aprĂšs la prioritĂ© au sinodrome, Ă  la piste de curling, au stade de diabolos de Louviers, c’est Ă©vident, donne un petit coup de main Ă  l’athlĂ©tisme rolivalois et prenne notre relais avant Rio 2016 oĂč courra, Ă©paulĂ© par GDF Suez, notre grand champion Michael ZĂ©zĂ© – que nous espĂ©rons voir revenir couvert d’or. Vous l’aurez Ă©galement compris. Si nous nous sommes rĂ©fugiĂ©s ici, c’est parce que le Théùtre des Chalands est dĂ©sormais devenu trop coĂ»teux et pas assez sĂ©curisĂ© pour accueillir notre cĂ©rĂ©monie annuelle. Nous l’avons laissĂ© aux comĂ©diens qui y rĂ©sident et Ă  son directeur BenoĂźt Geneau que je salue pour ce qu’il a fait Ă  Val-de-Reuil et qu’il pourrait continuer sous une autre forme. Arma togae cedant». Que les armes cĂšdent Ă  la toge, disait-on Ă  Rome pour manifester la soumission du pouvoir militaire au pouvoir civil. Civitas artis cedat » se dit donc Ă  Val-de-Reuil pour signifier que la politique s’efface devant la culture et, par les temps qui courent, ce n’est pas la plus mauvaise des idĂ©es. Les plus anciens de mes collĂšgues auront compris que cette petite incise n’est qu’un prĂ©texte pour intĂ©grer dans mon propos quelques citations latines exactes ou fabriquĂ©es et conserver ainsi sur notre territoire la tradition chĂšre Ă  Franck Martin qui, avec Patrice Yung et Christian Renoncourt, sĂ»t incarner pendant 20 ans notre voisine, la citĂ© drapiĂšre, en puisant allĂšgrement dans les pages roses du dictionnaire. Pour en revenir Ă  notre quĂȘte d’un toit, voici seulement trois semaines nous Ă©tions Ă  la rue. L’idĂ©e de nous rĂ©fugier dans un cirque, si elle n’effraie pas certains, m’a paru symboliquement aventureuse. J’entends dĂ©jĂ  les commentaires. J’en ai mĂȘme lu certains dans La DĂ©pĂȘche ce matin. Vous accueillir dans le nouveau théùtre de l’Arsenal, malgrĂ© l’achat de 500 casques de chantier, restait audacieux au regard de la commission de sĂ©curitĂ© sauf Ă  vouloir me dĂ©barrasser de quelques-uns d’entre nous. RĂ©server le théùtre d’Evreux que mon collĂšgue Ă©broĂŻcien veut libĂ©rer de la scĂšne nationale qui est, dans son budget et peut-ĂȘtre dans son esprit, un poids inutile, aurait Ă©tĂ© diversement interprĂ©tĂ© puisque j’entends partout que cette troupe trouverait asile, bientĂŽt, sur notre plateau. Il ne restait plus que cet espace. Entre salle d’échauffement et salle de musculation, il ne m’a pas paru inadaptĂ© Ă  l’exercice oratoire et sportif qui nous rĂ©unit avant que nous partagions un pot que la conjoncture a rendu plus frugal. Quoi qu’il en soit, compte tenu de ce dĂ©mĂ©nagement impromptu, auquel s’ajoutent les rigueurs de l’hiver, qui nous apportera la neige de NoĂ«l en janvier, je ne peux que davantage vous remercier, vous les entrepreneurs, les associatifs, les partenaires, les voisins, les habitants, de votre fidĂ©litĂ©, de votre assiduitĂ©, Ă  ce rendez-vous annuel. Je veux aussi remercier la famille des Ă©lus de Seine-Eure, les maires de Pont-de-l’Arche, la Haye-Malherbe, d’Heudebouville, de Saint-Pierre et Saint-Etienne du Vauvray, de Vironvay et de AndĂ©, de Louviers et de LĂ©ry, de s’ĂȘtre ainsi rassemblĂ©s autour de nous. Pour des raisons autrement plus graves que le froid, nous aurions pu annuler ce rendez-vous. Nous l’avons, au contraire, maintenu parce que nous avons pensĂ©, avec mes collĂšgues du Conseil Municipal, qu’il Ă©tait bien de se retrouver, de se rĂ©unir, de se rĂ©chauffer. Nous ne pouvons pas, en effet, ne pas dire un mot sur l’actualitĂ© la plus rĂ©cente, sur ces jours terribles qui ont bouleversĂ©, Ă©branlĂ© et endeuillĂ© notre pays. Ils suscitent en moi qui suis aussi le premier responsable d’un parti politique dans le dĂ©partement de l’Eure diffĂ©rentes rĂ©actions Il faut avant tout songer, aprĂšs ces attentats comme aprĂšs ceux de Londres et de Madrid qu’on ne saurait pas oublier, aux victimes de cette violence aveugle, aux blessĂ©s, Ă  leur famille qui souffrent et s’interrogent. Ces 17 morts, mĂȘme si certains – rappelait il y a peu l’écrivaine Marie Nimier – parlent de 20 morts en y incluant les terroristes manipulĂ©s par leur fanatisme, par l’obscurantisme, par des donneurs d’ordre qui, comme eux, autant qu’eux, davantage encore, sont coupables de cette tuerie et qu’il faut, pour cela, chasser et traquer, ces 17 morts sont Ă  l’image de la sociĂ©tĂ© française ‱ Les trois assassins ont tuĂ©, indiffĂ©remment, des journalistes, des policiers, des employĂ©s communaux, des Ă©tudiants, des clients, des commerçants, des femmes et des hommes, pour la plupart dĂ©sarmĂ©s et tous innocents, des Français que nous aurions pu croiser dans la rue. Ne nous trompons pas. En faisant feu sur leurs cibles, ils ont voulu tirer sur notre sociĂ©tĂ© pour l’abattre. C’est pour cela qu’il faut rĂ©sister debout. ‱ Les trois assassins ont tuĂ© des octogĂ©naires et des jeunes gens, puis retenus en otages un bĂ©bĂ©, un enfant et une femme enceinte au mĂ©pris de toute humanitĂ©. Ils sont l’inhumanitĂ©. ‱ Les trois assassins ont tuĂ© des catholiques, des juifs, des athĂ©es et des musulmans. Il faut rappeler que le Djihad qui, dans son dĂ©lire, prĂ©tend tuer des chrĂ©tiens et les enfants d’IsraĂ«l, verse chaque jour le sang de l’Islam et a tuĂ© des dizaines de milliers de Syriens, de NigĂ©riens, de NigĂ©rians et d’Afghans, de Libyens, de Maliens de Kurdes et d’Irakiens, parfois des Tunisiens, des AlgĂ©riens et des Marocains, tous leurs frĂšres en religion. Quelle hypocrisie ! ‱ Les trois assassins ont tuĂ© un policier d’origine arabe, Ahmed Merabet, 42 ans, un fils modĂšle, un homme exemplaire, qui suppliait ses bourreaux de l’épargner, alors que, dĂ©jĂ  atteint, il Ă©tait au sol, une policiĂšre d’origine martiniquaise, Clarissa Jean-Philippe qui n’avait que 27 ans, abattue par traitrise Ă  Montrouge alors qu’elle faisait son devoir, un policier d’origine normande Franck Brinsolaro, 49 ans, fonctionnaire valeureux, professionnel, dĂ©terminĂ©, qui aprĂšs avoir risquĂ© sa vie pour protĂ©ger nos ambassades dans des pays en guerre, voulait, Ă  Bernay, profiter de sa femme et de sa petite fille. Par leur sang versĂ© pour nous, nos trois compatriotes, face Ă  la lĂąchetĂ© de leurs agresseurs, se sont tous comportĂ©s en hĂ©ros. Je veux reprendre la phrase de ClĂ©menceau Ă  propos des combattants de la Grande Guerre. Ils ont des droits sur nous ». Nous ne les oublierons pas. C’est pourquoi il ne faut pas mesurer notre admiration pour le courage, le dĂ©vouement et la dĂ©termination des forces de l’ordre engagĂ©es dans cette opĂ©ration. Il me revient une image, celle de cet homme du Raid qui se glisse, le premier, le rideau de fer Ă  peine levĂ©, dans le petit supermarchĂ© casher pour protĂ©ger les otages de son corps et de son bouclier. Combien d’entre nous auraient eu le cran de le suivre ? Devant la mort de leurs collĂšgues, nous adressons, sincĂšrement, nos condolĂ©ances Ă  ceux qui, dans l’Eure et Ă  Val-de-Reuil-Louviers, policiers, gendarmes, policiers municipaux et pompiers, risquent aussi, leur vie pour nous prĂ©server du danger et Ă  qui il faut dire -plus souvent- notre gratitude pour leur formidable travail et l’implication dont ils font preuve dans leur mission, sans limiter notre soutien au traumatisme qui suit les grandes Ă©preuves, mais en en faisant un rĂ©flexe rĂ©publicain, un rĂ©flexe permanent. Je veux dire Ă©galement, comme beaucoup d’entre vous l’ont fait, ma reconnaissance au PrĂ©sident de la RĂ©publique, au chef de l’Etat François Hollande, au Premier Ministre Manuel Valls, que j’accompagnerai en Chine la semaine prochaine, et Ă  son Gouvernement, notamment Ă  Bernard Cazeneuve, pour leur efficacitĂ©, leur comportement digne, la fiertĂ© qu’ils nous ont communiquĂ©e, mais aussi pour leur ton mesurĂ©, leurs paroles apaisantes afin de prĂ©server la cohĂ©sion nationale, de crĂ©er face Ă  nos ennemis l’indispensable union sacrĂ©e que nos parlementaires, je pense Ă  François Loncle, ont relayĂ©e en chantant, dans l’hĂ©micycle, une Marseillaise entonnĂ©e par Serge Grouard, le dĂ©putĂ©-maire UMP d’OrlĂ©ans, et reprise par Claude Bartolone, le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale. La France n’a pas Ă©tĂ© seule pour affronter cette Ă©preuve. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai ressenti du bonheur et de l’honneur Ă  voir le monde entier s’unir pour dĂ©filer entre la RĂ©publique et la Nation. La RĂ©publique et la Nation, ce sont deux notions intimement liĂ©es, depuis la RĂ©volution Française, comme la dĂ©mocratie et la libertĂ©, Ă  notre histoire, Ă  notre culture, Ă  notre destin. C’est un message auquel 50 chefs d’Etat et de Gouvernement ont voulu dire leur attachement et qu’importe si quelques hypocrites se sont glissĂ©s dans le cortĂšge parmi une immense majoritĂ© d’honnĂȘtes gens. Paris Ă©tait, par ce beau dimanche de manifestation, la capitale de la libertĂ©. Dans la foule, immobilisĂ© Ă  des centaines de mĂštres du cƓur de la manifestation, en famille, j’ai Ă©prouvĂ© l’espoir, l’élan de se vivre ensemble » que traduisait, partout en France, le beau mouvement citoyen qui a vu des millions de gens converger vers les esplanades et les places des HĂŽtels de Ville de France, jusque sur le perron de notre Mairie Ă  l’appel de Fadilla Benamara ou pendant la projection de Timbuktu demain aux Arcades Ă  laquelle nous invitent Nadia Benamara et Jean-Claude Bourbault. Mais ce beau sursaut ne suffira pas. Nous sommes face Ă  quatre dangers dont il faut avoir conscience Le premier, et comment ne pas y songer alors que nous vivons toujours sous le rĂ©gime du plus haut niveau du plan Vigie Pirate, est que cela se reproduise. Il faut ĂȘtre lucide. Il faut ĂȘtre vigilant. Il faut ĂȘtre solidaire. Il faut ĂȘtre clair. Nul n’a le droit de tuer son frĂšre. Pour rappeler les vertus de la laĂŻcitĂ© qui n’est pas que » neutralitĂ© mais rĂšgle de vie et garantie – justement – pour nos croyances privĂ©es, de la RĂ©publique qui n’est pas que » tolĂ©rance mais force, aspiration, devoir, j’ai demandĂ© aux services municipaux sous l’égide de Patrice Caumont de rĂ©flĂ©chir Ă  des actions sectorielles. Le second danger serait de confondre ces trois assassins, embrigadĂ©s dans une secte meurtriĂšre, aprĂšs l’avoir Ă©tĂ© dans la dĂ©linquance et, pour l’un d’entre eux, dans la pĂ©do-pornographie, avec des millions de gens paisibles, nos voisins, nos amis, nos agents et, pour certains, mes collĂšgues, avec une religion qui a sa beautĂ©, ses particularitĂ©s et ses qualitĂ©s. En vertu de cela, il faut, selon moi qui ne croit pas, se garder de parler trop rapidement de guerre, ni choc de civilisations. Il ne faut pas oublier tout ce que la culture arabo musulmane a apportĂ© au monde occidental et combien, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, y compris entre 1830 et 1962, y compris par l’immigration, la sociĂ©tĂ© française qui est une sociĂ©tĂ© d’intĂ©gration s’est ouverte Ă  des femmes et Ă  des hommes, Ă  leurs enfants nĂ©s français, qui en sont membres Ă  part entiĂšre, singuliĂšrement ici, et qui, en faisant leur vie, ont Ă©difiĂ© la nĂŽtre. A Val-de-Reuil, je ne renoncerai pas Ă  faire confiance. Je ne renoncerai pas Ă  dĂ©livrer un permis de construire Ă  un projet de MosquĂ©e que j’approuve, pour peu qu’il soit aux standards de notre architecture moderne. Cette construction permettra tout simplement Ă  des centaines de Rolivalois, nos concitoyens actifs et mobilisĂ©s Ă  nos cĂŽtĂ©s -lorsqu’il le faut- y compris dans cette pĂ©riode oĂč les repĂšres deviennent incertains, de se rĂ©unir dans des conditions dignes. C’est indispensable, pour entendre la voix d’un Imam qui doit veiller, notamment auprĂšs des plus jeunes, car c’est, avec celle de leurs parents, sa responsabilitĂ© personnelle, Ă  rĂ©pandre un Islam Ă  la fois authentique et rĂ©publicain. Sur ce point, attention, je ne pratiquerai ni l’angĂ©lisme, ni l’ amalgame. Moi je suis du cĂŽtĂ© de Lassana Bathily, de la lĂ©gion d’honneur et de la France. Dire cela n’empĂȘche aucunement d’avouer un troisiĂšme danger, celui de voir renaĂźtre en France l’antisĂ©mitisme, cette abjection totale qui puise dans ce qu’il y a de plus absurde et de plus cruel. Qui peut oser partager la dĂ©mence des nazis, nier la Shoah et choisir le camp de la Gestapo ? Et qu’on ne vienne pas parler pour justifier le refus odieux d’une minute de silence de ce qui se passe Ă  JĂ©rusalem et Ă  Gaza car les Juifs de France sont chez eux dans un pays qui, depuis des siĂšcles, est le leur et auquel ils ont tant donnĂ©. C’est une rĂ©alitĂ© qui ne doit pas ĂȘtre ignorĂ©e dans notre lycĂ©e qui s’appelle Marc Bloch, notre collĂšge qui se nomme Pierre MendĂšs France, notre Ă©cole hommage Ă  LĂ©on Blum. Je le dis d’autant plus fortement qu’il apparaĂźt qu’il n’y a pas eu cent incidents dans les Ă©tablissements scolaires de l’hexagone au moment du recueillement Ă  la mĂ©moire des victimes des attentats, mais cent par rectorat, ce qui signifie des milliers de cas de mĂŽmes qui ne comprennent mĂȘme pas ce que sont la douleur et la compassion. Il ne faut pas non plus oublier d’autres conflits dans lesquels la France, avec ses jeunes soldats, expĂ©rimentĂ©s et dĂ©vouĂ©s, est engagĂ©e au Sahel ni taire les massacres commis par Boko Haram. Il ne faut pas pour autant oublier l’absence de paix au Moyen Orient et le drame palestinien, car la morale civique que nous dĂ©fendons commande de n’avoir qu’une seule attitude face Ă  l’injustice. Plus difficile Ă  formuler, mĂȘme si le Pape François, cet homme qui nous Ă©tonne tous les jours et qui vaut mieux que son prĂ©dĂ©cesseur, en a dit un mot. Il est complexe de vouloir d’un unanimisme paradoxal qui exigerait que l’expression de toutes les opinions soient libres, mais qui s’imaginerait Ă©galement que leur formulation ne choque personne, que non seulement nous soyons tous Charlie », mais que nous imposions que chacun le soit sans possibilitĂ© de choix. Je ne fais pas allusion au pantin millionnaire DieudonnĂ© qui fait la politique de Mme Le Pen, ni Ă  la foule anti-française manipulĂ©e Ă  Niamey ou au Pakistan, mais Ă  ceux qui, Ă  cĂŽtĂ© de vous, jusque dans cette salle, vous disent qu’il est parfois dur de voir traitĂ© en dĂ©rision ce qui est, pour eux, le plus prĂ©cieux et le plus sacrĂ©. Il y a encore beaucoup d’explications Ă  donner, beaucoup de discussions Ă  avoir sans ĂȘtre pĂ©remptoire pour que nous vivions ensemble. Enfin, je ne veux pas voir la France, notre pays, l’Europe qui reste notre avenir se radicaliser entre fanatiques embrigadĂ©s par des sectes, d’un cĂŽtĂ©, et extrĂ©mistes arriĂ©rĂ©s, de l’autre, surfant stupidement sur les peurs, les angoisses, les colĂšres nĂ©es de ces crimes pour dĂ©velopper leur petit commerce de la haine ordinaire. C’est un risque Ă  la veille de deux Ă©lections importantes. De ce point de vue nous aurons tous, en mars et en dĂ©cembre, une responsabilitĂ© politique dans le choix de nos mots, de nos actions, de notre vote. Avec le conseil municipal de Val-de-Reuil, Ă  notre trĂšs modeste Ă©chelle, nous avons – avec vous – une mission qui est de prĂ©server un territoire oĂč personnes nous font confiance. Je dis toujours que notre Ville est un petit paradis en raison de la concorde, de l’harmonie, du calme qui rĂšgnent dans nos rues, dans nos associations, dans nos Ă©coles. Continuons tous ensemble. Ne devenons pas un petit paradis perdu. Les incendies se sont Ă©teints qui trahissaient un mal-ĂȘtre. Les tags se sont effacĂ©s qui portaient un message de haine. Pour moi un habitant de ma ville ne se caractĂ©rise pas parce qu’il est propriĂ©taire ou locataire, cĂ©libataire ou Ă  la tĂȘte d’une large famille, salariĂ©, agent public, rentier ou chĂŽmeur. Il n’est pas blanc, noir, chinois, jeune ou vieux, proche ou pas de la mosquĂ©e ou de l’église, de sexe fĂ©minin ou masculin. Il ne se distingue pas parce qu’il serait nouvellement arrivĂ© ou premier rĂ©sident. Je ne calcule pas le nombre de kilomĂštres qui le sĂ©parent de la Ville oĂč il est nĂ©, Paris, Taza, Dakar, Rouen, Erbil, Phnom-Penh, Caen, Alger, Brazza, Marseille, Ho Chi Minh Ville, Tizi-Ouzou ou Kinshasa, ce qui serait une discrimination particuliĂšrement imbĂ©cile. Il est rolivalois. Il n’y a ici qu’une seule communautĂ© fondĂ©e, dans la diversitĂ©, sur une seule identitĂ©. C’est cette communautĂ© qui s’est recueillie autour de deux hommes qui nous ont quittĂ©s en 2014. Je sais que nous ayons tous une pensĂ©e pour eux. Notre ami et collĂšgue Daniel Moreau, d’abord, parti si brutalement. A l’aube de sa retraite, aprĂšs avoir travaillĂ© chez Matra, EADS, Cassidian, il voulait donner son temps Ă  ceux qui n’ont pas d’emplois et, aprĂšs s’ĂȘtre lancĂ© dans l’arĂšne de la campagne avec sa probitĂ© qui lui faisait s’indigner de telle ou telle attaque, il apportait dans notre maison sa gentillesse, sa sĂ©rĂ©nitĂ© et son dynamisme. Nous construisons, dans le respect de son souvenir, ce qu’il avait commencĂ© de bĂątir. GĂ©rard Thurnauer, Thurno », Ă©galement, jeune homme de 88 ans, architecte, urbaniste, environnementaliste avant l’heure qui a fondĂ© notre Ville et qui, pendant un demi-siĂšcle, l’a toujours dĂ©fendue avec ses utopies et ses acquis, ses balbutiements et ses achĂšvements. Comme au premier jour, il y croyait dur comme fer et nous apportait Ă  chaque Ă©chĂ©ance son soutien, son appui, voyant dans nos efforts, dans notre renouveau, non pas une contradiction avec son Ɠuvre, le prolongement de son propre dessein. Avec Jean-Paul Lacaze, il a rejoint Jeanne et Michel Doucet
 Ils seraient heureux de voir aujourd’hui, je le crois, nos projets, ces grandes directions, ces orientations que nous voulons donner Ă  la plus jeune commune de France pour qu’elle se dĂ©veloppe et apporte davantage Ă  ses enfants. Ce que je dis Ă  cet instant n’est pas Ă©loignĂ© de ce par quoi j’ai commencĂ©. Comme elle Ă©tait celle de Raymond Aron, selon ce que l’on apprenait de lui Ă  la Fac, ma conviction politique est que seule une humanitĂ© heureuse peut tourner le dos Ă  la violence qu’elle soit criminelle ou sociale, collective ou individuelle, qu’on ne peut nĂ©gliger ou mĂ©priser les onze millions de Français qui vivent dans des quartiers de grande prĂ©caritĂ©, que la solidaritĂ© nationale et locale, c’est Ă  dire de l’argent mieux rĂ©parti, mieux partagĂ©, doit briser les ghettos et crĂ©er l’unitĂ©. C’est en ce sens que le Premier Ministre a parlĂ© d’apartheid ou de relĂ©gation. Aussi est-ce, une fois encore, le but que nous avons assignĂ© au programme municipal de ce troisiĂšme mandat. Il est dĂ©jĂ  prĂȘt et nous l’avons dĂ©fendu en mars. Il nous conduira ensemble Ă  la veille de 2020. Il est mis en Ɠuvre par une Ă©quipe jeune, sympathique, renouvelĂ©e, prĂ©sente, exigeante, cohĂ©rente, diverse et paritaire avec qui j’ai un grand plaisir Ă  travailler. Grace, Nabil, Jeanne, Ousmane, Olivier, Mohamed, BenoĂźt, vous ĂȘtes notre relĂšve pour demain. De ce point de vue, sans mĂȘme Ă©voquer l’aide extraordinaire que m’apporte notre premiĂšre adjointe Catherine Duvallet, j’ai Ă©normĂ©ment de chance. Lors de l’élection, il y a moins d’un an, cette dynamique et notre cohĂ©sion, ont Ă©tĂ© des atouts. Dans une conjoncture nationale difficile pour la formation que je reprĂ©sente, en dĂ©pit du renouveau de l’opposition dans l’Eure qui, derriĂšre son leader, installe un systĂšme qui fait, parfois, froid dans le dos et des Ă©quipes qui peuvent prĂȘter Ă  sourire, ce qui n’est pas une insulte, malgrĂ© le score du Front National aux europĂ©ennes qui, localement encore plus que dans l’hexagone, m’a horrifiĂ©, notre sĂ©rieux et notre ambition pour la Ville ont convaincu, dĂšs le premier tour, deux Ă©lecteurs sur trois. MĂȘme le quarteron habituel de mĂ©contents, d’incompĂ©tents, de dissidents, qu’on trouve partout dĂšs que les choses vont mieux, ne m’a pas empĂȘchĂ© d’ĂȘtre, parmi ceux qui partagent mon engagement militant, le maire le mieux réélu de notre rĂ©gion. Je veux en remercier une fois encore et de tout cƓur les rolivalois qui, sans aucune exception, qu’ils m’aient soutenu ou pas, peuvent compter sur moi. Sans eux, je ne serai pas lĂ  oĂč je suis avec mon enthousiasme, mon Ă©nergie et mon envie. C’est ce qui explique qu’aux prochaines Ă©lections dĂ©partementales, je soutiendrai Ă©videmment Janick LĂ©ger, qui a tant fait pour notre Ville, pour l’éducation, pour l’action sociale, pour le dĂ©veloppement, et Jean-Jacques Coquelet en qui j’ai entiĂšrement confiance et qui tient les finances de la Ville. Avec cette femme et cet homme, j’ait tant de choses en partage. Je sais qu’ils travailleront au bien commun. Je voterai pour eux, tout comme j’aurais votĂ© Richard Jacquet Ă  Alizay ou Acquigny, Leslie ClĂ©ret Ă  Louviers ou Vironvay. J’ai notĂ© une lĂ©gĂšre difficultĂ© puisque, pour une candidature de tĂ©moignage, vouĂ©e Ă  l’échec, comme celle de Jean-Pierre Perrault, le prĂ©sident du conseil des sages voici six ans, une autre de mes adjointes se prĂ©sente contre eux. C’est une erreur et un handicap pour notre Ville. NĂ©anmoins c’est une jeune femme Ă©lue que je respecte et que tous ses collĂšgues apprĂ©cient. Je ne l’approuve pas. Pourtant, contrairement Ă  ce qui ce serait passĂ© dans bien d’autres contrĂ©es, je ne la sanctionnerai pas. Nous avons besoin d’unitĂ© au service du progrĂšs et le Front de Gauche y a toute sa place. 10 prioritĂ©s» Avec mon Ă©quipe, je mettrais donc en Ɠuvre dix prioritĂ©s 1 La plus importante est le renouvellement urbain Ă  travers le PNRU2. D’une certaine façon, nous pourrions presque considĂ©rer que nous avons rempli notre contrat dĂšs lors que nous l’avons obtenu. Un millier de communes et de quartiers avaient fait acte de candidature. GrĂące Ă  notre travail, Ă  celui de Fabrice Barbe, aux rĂ©unions de quartiers, aux diagnostics en marchant de Bernard Cancalon, Val-de-Reuil a Ă©tĂ© retenu Ă  la mi-dĂ©cembre, parmi les 200 sites Ă  enjeu national » qui vont bĂ©nĂ©ficier de ce dispositif. Certes le PrĂ©sident de la RĂ©publique nous l’avait promis, mais ce n’était pas dans la poche. La concurrence a Ă©tĂ© terrible. Mais, comme Myriam El Khomri, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ©e de la Politique de la ville, s’est rendu, le mercredi 7 janvier, dans notre citĂ© contemporaine » a pu le constater, les progrĂšs rĂ©els que nous avons accomplis lors des deux premiĂšres opĂ©rations de rĂ©novation urbaine ORU, puis ANRU, Ă©taient rĂ©els. Avec un peu plus de 100 millions d’Euros, nous avons pu changer notre Ville. Il faut jeter maintenant les bases des quatre Ă©tapes du nouveau plan de rĂ©novation 1 dĂ©signer une Ă©quipe de maĂźtrise d’Ɠuvre et un comitĂ© de pilotage en bonne entente avec la Case sans retomber dans les errements passĂ©s, ni voir comme les fameux carabiniers telle ou telle qui doit encore faire ses preuves, s’autoproclamer sans lĂ©gitimitĂ© particuliĂšre, sans compĂ©tence particuliĂšre chargĂ©e de ce dossier 2 envisager ce que pourra ĂȘtre l’enveloppe dĂ©volue Ă  Val-de-Reuil, enveloppe qui avait Ă©tĂ© estimĂ©e entre 35 et 50 millions d’euros. 3 interroger les partenaires publics Caisse des DĂ©pĂŽts, CAF, etc, les collectivitĂ©s locales agglomĂ©ration, dĂ©partement, rĂ©gion et bailleurs sociaux sur ce que pourra ĂȘtre la rĂ©partition du budget nĂ©cessaire et leur niveau d’engagement. 4 dĂ©finir une liste d’opĂ©rations prioritaires. Parmi ces derniĂšres, la municipalitĂ© souhaite naturellement inclure les 150 logements du Quartier du Mail, dont la rĂ©novation par Eure Habitat a Ă©tĂ© Ă©valuĂ©e Ă  une dizaine de millions d’Euros et qui auraient dĂ» figurer parmi les deux premiĂšres vagues de rĂ©habilitation dĂšs 2001, s’ils n’avaient Ă©tĂ© hors des limites administratives d’intervention de l’ANRU, la copropriĂ©tĂ© dĂ©gradĂ©e de la GaranciĂšre sur la Grosse Borne, les interstices des plans prĂ©cĂ©dents et je pense notamment aux rues Payse et Bonvoisin, la transformation du Théùtre des chalands » en Maison des chalands » rĂ©servĂ©e aux jeunes et aux associations, les friches urbaines que constitue le site de l’ancienne ESITPA, ainsi que l’accompagnement du quartier de la Gare et de celui de l’Ilot 14. Tous ces projets seront aidĂ©s par la baisse de la TVA Ă  5,5% sur les constructions de la Ville Nouvelle et son classement en zone B2 au titre de la Loi Duflot qui font dĂ©jĂ  revenir les promoteurs. DeuxiĂšme objectif essentiel, le dĂ©veloppement du commerce. Nous avons pour cela de trĂšs nombreux projets aidĂ©s par la disparition d’une partie de la fiscalitĂ© sur ces activitĂ©s que permet le classement d’une partie de notre territoire en quartier de la politique de la Ville. Des cases commerciales se construisent donc partout a sur la Voie Blanche au rez-de-chaussĂ©e de l’immeuble signal, b avec Merzhad Korangi qui veut doubler la superficie du petit centre commercial de la TrĂ©sorerie devant le lycĂ©e, c aux Clouets qui continuent de se dĂ©velopper, d au point commerce de la Gare pour lequel nous avons des candidats, e dans un immeuble de 18 logements qui abritera aussi une clinique vĂ©tĂ©rinaire et quelques cases Ă  la place de l’ancienne maison du directeur de l’EPV au croisement des Falaises et de la voie Blanche, mais notre principale projet demeure l’ilot 14 qui doit s’entendre de la Galerie Vivaldi Ă  Rue Courtine. Pour offrir aux rolivalois et Ă  leurs voisins, les commerces dont ils ont besoin, ce terrain en centre ville, dont nous ne sommes devenus propriĂ©taires qu’en 2012, a fait l’objet d’une compĂ©tition. Depuis trois mois, nous avons accompagnĂ© deux Ă©quipes, l’une menĂ©e par Carrefour, l’autre par Immochan, qui nous ont prĂ©sentĂ© deux projets qui renforceront l’attractivitĂ© de notre Ville. Nous touchons au bout. D’ici un mois, nous aurons choisi celui qui sera l’opĂ©rateur de ces de commerces, des ces 450 places de parking et de ces 120 logements, environ, dont le chantier commencera en 2016. Cela changera la donne. TroisiĂšme objectif dĂ©velopper le logement. Nous le savons depuis des annĂ©es. Pour des raisons fiscales, budgĂ©taires et sociales, l’équilibre dĂ©mographique de la ville se situe Ă  20 000 habitants et il nous faut aprĂšs ĂȘtre passĂ© de 93% Ă  63% de logements sociaux, continuer de bĂątir les conditions d’un parcours rĂ©sidentiel et de la mixitĂ© sociale pour les habitants. Il fait donc construire Ă  Val-de-Reuil. C’était une tĂąche ingrate jusqu’en 2001. La ville avait mauvaise rĂ©putation et prĂ©sentait un visage urbain » peu avenant. Depuis les choses sont devenues plus faciles. 700 logements ont Ă©tĂ© construits au cours des 10 derniĂšres annĂ©es. 500 autres devraient sortir de terre avant cinq ans. Pour ne prendre que quelques exemples, le lotissement de la SECOMILE sera fini dans quelques semaines ; l’éco-quartier et ses 98 logements sont en chantier en nous efforçant de protĂ©ger les habitants de ses nuisances. Demain, si les fouilles archĂ©ologiques qui vont nous coĂ»ter euros ne font pas apparaĂźtre les restes d’un homme prĂ©historique muni de l’ancĂȘtre d’un sac Vuitton, comme au CavĂ©, voici quatre ans, 60 villas Ă  proximitĂ© du Parc des sports et 50 maisons de ville, prĂšs de la gare, devraient Ă©galement voir le jour. QuatriĂšme objectif, amĂ©nager notre Ville et continuer d’en remodeler le pĂ©rimĂštre le long d’un axe est/ouest par la reconquĂȘte des rives de l’Eure auxquelles nous tournions le dos. RĂ©aliser ce rééquilibrage et oublier le dĂ©veloppement nord/sud qui prĂ©valait avant 2000 exige la construction d’un nouveau quartier Ă  l’Est de la ville, Ă  l’image de celui que nous continuons d’édifier autour du lycĂ©e. Pour cela nous avons des atouts, le nouveau visage de la gare a dĂ©jĂ  sĂ©duit Spie Batignoles. Plus accueillante, plus moderne, plus accessible avec ses ascenseurs, sa passerelle rĂ©novĂ©e -j’en aurais prĂ©fĂ©rĂ© une neuve mais Ă  plus d’un million d’euros l’unitĂ©, je me suis fait une raison car, contrairement Ă  ce qui se passe pour la gare de Bernay, nous payons dĂ©jĂ  plus que notre Ă©cot- son parking de 463 places de parking, livrĂ© fin 2015, la firme de BTP veut y bĂątir 4 bĂątiments de bureaux. Ils seront le cƓur d’un quartier numĂ©rique de – entourĂ© de nouveaux logements, – organisĂ© autour du centre technique municipal, du petit complexe de jeux Toukyland, de la future salle de futsal je fĂ©licite d’ailleurs l’ASVVP pour ses remarquables rĂ©sultats et du théùtre de l’Arsenal, car il faut des Ă©quipements pour qu’il y ait de la vie. – aĂ©rĂ© par les deux grands parcs de promenade Ă©cologiques qui vont ĂȘtre amĂ©nagĂ©s Ă  proximitĂ©, l’un par la SILOGE et la rĂ©gion, l’autre par CEMEX non loin de la prison en contrepartie de l’extraction de granulats. Nous mĂ©riterions la quatriĂšme fleur que MM AuriĂšres, Duconseille et Prestot se battent pour nous faire avoir, si cette qualitĂ© de notre cadre de vie Ă©tait un tant soit peu compatible avec la construction d’une autoroute qui dĂ©figurerait nos paysages. Je dĂ©plore donc que la Ministre en charge de l’environnement en ait acceptĂ© son dĂ©marrage. Je veux croire sur ce dossier Ă  la parle de Dominique Sorain et RenĂ© Bidal, nos PrĂ©fets qui ont toujours dĂ©fendu nos causes. Sans cela il faudra en tirer toutes les consĂ©quences
 Enfin, en termes d’amĂ©nagement, surtout depuis qu’elle est refaite, la Rue Grande vers laquelle reviennent un ou deux commerçants reste pour nous une immense prĂ©occupation. CinquiĂšme objectif la modernisation par le savoir. Cette volontĂ© est traduite Ă  travers trois chantiers essentiels. Celui du Théùtre et, hier soir, mon collĂšgue de la Cour des comptes, Fabrice Bakhouche, directeur de cabinet de Fleur Pellerin, me disait comme Myriam El Khomry nous l’a rappelĂ© que notre théùtre est un outil essentiel pour la diffusion des idĂ©es et la dĂ©mocratisation de la culture. Si nous faisons un outil d’ouverture, il sera subventionnĂ©. Au nouveau directeur qu’un concours retiendra Ă  la fin du mois d’entendre cet appel. DeuxiĂšme front de la modernisation, le dĂ©ploiement du rĂ©seau fibre optique dans lequel, la ville s’est engagĂ©e, dĂšs 2011. Au-delĂ  de la performance technique de la SOGIRE et de la Spie, au-delĂ  du progrĂšs technologique que cela apportera, plus que les 24 kilomĂštres de fibre installĂ©s, ce qu’il faut retenir ce sont les usages que ce rĂ©seau va permettre et l’attractivitĂ© que cela va donner Ă  notre commune. Demain, chaque famille, chez elle, sera connectĂ©e et la commune rĂ©flĂ©chit Ă  une offre d’internet sociale qui leur sera proposĂ©e. DerniĂšre bataille, celle des Ă©coles, bastion de la laĂŻcitĂ© que font vivre les associations de parents d’élĂšves comme celle de Louise Michel, de LĂ©on Blum, les centres de loisirs comme celui des dominos et son extraordinaire fĂȘte Ă  laquelle j’ai assistĂ©, ou auxquelles a tant donnĂ© GeneviĂšve AndrĂ©. La meilleure arme pour faire reculer la bĂȘtise c’est le savoir et il a besoin d’ĂȘtre dopĂ© avec les moyens que les jeux vidĂ©os, les consoles, les mobiles dĂ©veloppent pour le concurrencer. Nous continuerons de booster PMF en tant que collĂšge numĂ©rique, d’équiper les Ă©coles de tablettes, et dans 6 semaines, l’ensemble des Ă©coles de la Ville, des collĂšges et notre lycĂ©e bĂ©nĂ©ficieront du trĂšs haut dĂ©bit. SixiĂšme axe, l’accroissement de la sĂ©curitĂ©. Nous avons dĂ©jĂ  des rĂ©sultats, moins 50% de faits constatĂ©s depuis 2008, mais augmenter encore la sĂ©curitĂ© de nos concitoyens passe par la mise en place de 4 nouvelles mesures. PremiĂšrement, il faut pour la sĂ©curitĂ© routiĂšre construire le rond point des sablons autour de l’Ɠuvre de Zimmerman, de trottoirs, de pistes cyclables. La seconde consiste Ă  ouvrir avec Dominique Lego le nouveau poste de police municipale sur la dalle Ă  proximitĂ© de la mĂ©diathĂšque. Le chantier a commencĂ© il y a plus d’un an. Il est interminable. Il va se terminer. Parce que nous avons souhaitĂ© un lieu accueillant, chaleureux oĂč les plaignants, les usagers, les fonctionnaires se sentent protĂ©gĂ©es, nous avons choisi, pour la façade, avec l’architecte Emmanuelle Lego, un procĂ©dĂ© et un matĂ©riau le corian qui est une premiĂšre mondiale. C’est un hasard et nous ne le souhaitions pas. Parce que l’architecte a du talent, parce que Dupont de Nemours, le fournisseur, s’investit pour que ce projet aboutisse, parce de nombreux bureaux d’études nous accompagnent, avant l’étĂ©, nos policiers municipaux, pourront s’y installer. TroisiĂšme dĂ©cision, l’installation de la vidĂ©o-vigilance sur la voie publique sera poursuivie. La ville compte actuellement une trentaine de camĂ©ras. Elle en comptera 12 supplĂ©mentaires Ă  la fin de l’annĂ©e. QuatriĂšmement, un nouvel policier municipal sera recrutĂ© en remplacement de M. AvollĂ© Ă  qui, comme Ă  d’autres agents essentiels, comme Marie-JoĂ«lle Bogaczyk. En plus de ces mesures fortes, des actions sont mises en place en faveur des jeunes identifiĂ©s comme personnes fragiles car en dĂ©crochage scolaire et pour certains connus des services de police. La veille Ă©ducative s’accompagnera d’actions d’aide Ă  la parentalitĂ©, de la mise en Ɠuvre de la procĂ©dure de rappel Ă  la loi dĂšs le prochain conseil, de la crĂ©ation d’un conseil pour les droits et les devoirs de la famille. Enfin le directeur de la sĂ©curitĂ© publique m’a conviĂ© Ă  une rĂ©union de travail sur les consĂ©quences locales des Ă©vĂ©nements que nous avons connus Ă  laquelle je me rendrai. Le maintien des grands Ă©quilibres Ă©conomiques est un but qui sera poursuivi. Nous allons continuer de contenir la dette dĂ©jĂ  divisĂ©e par deux et, aujourd’hui, moins Ă©levĂ©e que celle de Louviers. Je dois d’ailleurs rendre hommage Ă  François Merle, devenu breton, Ă  Sylvain Lecornet, devenu languedocien pour le soin avec lequel, grĂące Ă  Marie-Claude Marien, ils ont veillĂ© sur nos finances. Une information rĂ©cente a illustrĂ© les qualitĂ©s de cette Ă©quipe. Notre prĂȘt en franc suisse aurait fait exploser notre trĂ©sorerie s’il avait Ă©tĂ© indexĂ© sur l’Euro. Il l’est sur le dollar. Un vert et un mĂ©decin, cela vaut tous les banquiers. DĂšs lors, il n’y aura pas d’augmentation des impĂŽts pour la quinziĂšme annĂ©e consĂ©cutive. Nous dĂ©velopperons un fort investissement pour maintenir l’activitĂ© et le dynamisme. Mais nous accentuerons Ă©galement les Ă©conomies auxquelles la baisse des dotations nous oblige. Cela passera par des commandes passes au peigne fin nous versons chaque annĂ©e 3 millions d’Euros Ă  Id Verde, Cofely, Spie, ODS et Eurest, des dĂ©lais de carence, des non remplacements car chaque mois nous faisons entrer 1,8 M, mais nous en reversons 1 Ă  nos 400 agents. De ce point de vue lĂ , j’insisterai une fois encore sur les charges de centralitĂ© que nous assumons au profit de nos voisins. Les frais liĂ©s Ă  l’utilisation de nos Ă©quipements culturels le SIEM ou sportifs le stade, la piscine, aux centres sociaux, aux entreprises, sont entiĂšrement supportĂ©s par la commune alors mĂȘme qu’ils bĂ©nĂ©ficient aux habitants de toute l’agglomĂ©ration. Dans le contexte financier que nous connaissons, cet effort doit ĂȘtre bien mesurĂ© alors mĂȘme que nous allons librement donner une partie de nos recettes fonciĂšres Ă  l’agglomĂ©ration. L’amĂ©lioration de la qualitĂ© et de l’accessibilitĂ© des services publics est un huitiĂšme objectif. Des services ont Ă©tĂ© rĂ©cemment rĂ©novĂ©s pour amĂ©liorer l’accueil des usagers. C’est le cas du CCAS cher Ă  Maryline Niaux, Yvette Rebours et Ă  Pascale Samson, qui reçoit usagers, et du CMPP, l’objectif Ă©tant de recevoir un public souvent dĂ©muni, en difficultĂ©, dans des conditions dignes. C’est aussi le cas de la piscine dont la rĂ©novation des bassins, des vestiaires et du hall d’accueil s’accompagne de l’informatisation du systĂšme d’encaissement. Le service public, c’est la propriĂ©tĂ© de ceux qui n’en ont pas et il faut encore l’amĂ©liorer comme le dira un petit livret d’accueil des habitants de la Ville. Dans les prochains jours, un portail numĂ©rique famille sera mis en place et permettra aux usagers de rĂ©aliser de nombreuses dĂ©marches comme l’inscription des enfants en centre de loisirs de payer leurs factures par internet, ou de consulter un dossier en ligne. Notre chaine comptable sera elle aussi entiĂšrement dĂ©matĂ©rialisĂ©e. Enfin, avec le prĂ©fet retenu par la pĂ©riode rĂ©serve qui commence avant les Ă©lections, mais avec lequel nous avons travaillĂ© tout lundi, nous allons mettre en Ɠuvre la maison des services publics promise par Bernard Cazeneuve et inscrite au contrat d’agglomĂ©ration. Avant derniĂšre cible, le dynamisme Ă©conomique. Il est le fait des partenaires privĂ©s. Je vois que nous sommes devenus, devant Evreux, le pĂŽle Ă©conomique de l’Eure le plus dynamique et notre vitalitĂ© attire un nombre croissant d’entreprises. Il y en a dĂ©sormais 600 Ă  Val-de-Reuil, rĂ©parties au sein de 7 parcs d’activitĂ©s, dans un bassin d’emploi de 10 000 salariĂ©s. Nous construisons depuis une dĂ©cennie chaque annĂ©e en moyenne de 29 000mÂČ de nouveaux locaux construits par an. Nous avons la chance d’abriter de grands leaders comme Jansen qui nous a donnĂ© cette annĂ©e Ă  Val-de-Reuil le meilleur chercheur europĂ©en avec JĂ©rĂŽme Guillemont pour ses travaux sur la tuberculose comme Sanofi qui va installer un important fournisseur Ă  cĂŽtĂ© de lui. Mais nous voyons d’autres acteurs comme Airbus Cassidian ne pas toujours jouer le jeu et trainer Ă  conclure avec un repreneur pour pourrir la situation, laisser les meilleurs Ă©lĂ©ments par prĂ©caution quitter l’entreprise et les autres se dĂ©sespĂ©rer. Ce n’est pas normal et j’en ai alertĂ© une fois de plus Emmanuel Macron. Le dĂ©veloppement Ă©conomique, c’est aussi l’agglomĂ©ration et Jean-Marc Moglia. De bonnes choses sont en train d’ĂȘtre faites. L’HĂŽtel d’agglomĂ©ration a Ă©tĂ© repris par Ternet, mĂȘme si je regrette toujours que le conseil communautaire ait migrĂ©, malgrĂ© tous les accords, vers Louviers. La voie de l’OrĂ©e devrait ĂȘtre prolongĂ©e jusqu’au stade et elle deviendra notre voie sacrĂ©e. Une crĂšche d’entreprise va ĂȘtre construire route de Maigrement ce qui tombe bien car notre fĂ©conditĂ© est en berne, comme me le reproche, sans que je me sente vraiment concernĂ©, NoĂ«lle Boudart. Il ne vous reste plus cher Bernard Leroy qu’à reprendre le superbe hĂŽtel d’entreprises des quatre soleils qui se remplit rue du Pas des Heures. Enfin le dĂ©veloppement Ă©conomique, c’est d’abord et avant tout la rĂ©gion et je suis heureux que nous travaillions ensemble, moi qui en suis le Vice-prĂ©sident aux finances, et en bonne intelligence sur une Ă©norme opportunitĂ©. Enfin, et ce sera la derniĂšre de nos actions, la bataille de l’emploi est la rĂ©sultante ou le socle de toutes les autres. Le flĂ©au du chĂŽmage touche 1600 rolivalois soit 10% de la population locale et bien 25% de la population active. Qui pourrait vivre avec un tel taux ? Nous avons donc lancĂ© un plan concret avec GĂ©raldine Deliencourt et Mohamed Fliou pour relancer l’employabilitĂ© de la Ville. En dĂ©cidant de dĂ©dier 3 Ă©quivalents temps plein Ă  la mission d’accompagnement des demandeurs d’emploi. En organisant le 6 octobre dernier, les Etats gĂ©nĂ©raux de l’emploi », rĂ©union de travail au cours de laquelle les acteurs de l’emploi, pĂŽle emploi, mission locale, les agences d’intĂ©rim mais aussi les entreprises locales ont apportĂ© des solutions qui permettraient aux rolivalois d’accĂ©der aux emplois locaux. En nous inscrivant dans le programme des emplois d’avenir et en facilitant l’insertion professionnelle durable des jeunes sans diplĂŽme ou peu diplĂŽmĂ©s -32 Ă  ce jour- notamment par la formation. En demandant aux entreprises de nous communiquer leurs effectifs de salariĂ©s habitant Val-de-Reuil, l’objectif Ă©tant de les inciter Ă  recruter davantage de rolivalois. Enfin, en organisant un forum des mĂ©tiers chaque annĂ©e -le premier se tiendra le 21 avril- en faveur des lycĂ©ens et demandeurs d’emploi. C’est ainsi que tiendra Ă  Val-de-Reuil le lien social que Anne-Marie Chamouma fait vivre Ă  chaque Jumelage, MichĂšle Combes par l’association Vivre ensemble et les repas partage ou la maison des mots, Nabil Ghoul par l’excellence de ses initiatives pour les marchĂ©s nocturnes et artisanaux, avec le NoĂ«l de la solidaritĂ©, les puces motos de Patrick Huon, le marchĂ© de NoĂ«l, l’écran gĂ©ant de la coupe du Monde, Cin’étĂ©, qui vit surtout et enfin grĂące Ă  la communautĂ© des amis de Val-de-Reuil que je remercie car ils sont rĂ©unis ce soir ici
 L’unitĂ© nationale, c’est vous et votre cƓur bat ce soir pour nous. Restons groupĂ©s. Demain, les illuminations de fin d’annĂ©e s’éteindront Avenue des Falaises. Bonne annĂ©e Ă  vous, belle annĂ©e Ă  vous et Ă  ceux que vous aimez. PubliĂ© le 4 dĂ©c. 2015 Ă  2038Pour amĂ©liorer sa productivitĂ©, Sanofi Pasteur s’apprĂȘte Ă  dĂ©noncer l’ensemble des accords sur l’organisation du travail de ses salariĂ©s en France. La division vaccins du gĂ©ant pharmaceutique leur a annoncĂ© cette semaine son intention de dĂ©noncer les accords collectifs relatifs Ă  l’organisation du travail », soit plus d’une quarantaine d’accords, dans l’objectif de nĂ©gocier un nouveau cadre social, selon L’Usine Nouvelle » et l’ capter jusqu’à 500 millions d’euros d’investissements d’ici Ă  trois ans pour les sites français et la croissance du marchĂ© des vaccins, on doit amĂ©liorer notre capacitĂ© Ă  produire plus » et la multiplicitĂ© d’accords est source de complexitĂ© et de rigiditĂ© », a expliquĂ© un porte-parole de la division vaccins. On est super bons en France sur le plan des compĂ©tences techniques et des niveaux de conformitĂ© mais en matiĂšre de la performance de production, on part avec des handicaps par rapport Ă  nos autres sites et nos concurrents », argue-t-il. Le groupe a lancĂ© une analyse comparĂ©e de ses sites français principalement Marcy-l’Etoile et Neuville-sur-SaĂŽne, dans le RhĂŽne, et Val-de-Reuil, en Haute-Normandie avec ses autres usines dans le monde et aurait identifiĂ© des pistes d’amĂ©lioration de leur compĂ©titivitĂ©. Parmi elles, donc, l’organisation et le temps de travail, que la direction entend du CCE le 9 dĂ©cembreUne rĂ©union extraordinaire du comitĂ© central d’entreprise CCE se tiendra le 9 dĂ©cembre pour entamer un cycle de consultation puis de nĂ©gociation. ConcrĂštement, ils [la direction] ont dit vouloir nous supprimer 9 RTT pour passer Ă  12 » et pour l’instant, ils ne parlent pas de compensation salariale, donc cela revient Ă  baisser le salaire horaire », rapporte Laurent Biessy, reprĂ©sentant du syndicat sur le site de Marcy-l’Etoile RhĂŽne, citĂ© par l’AFP. Le groupe avait dĂ©jĂ  lancĂ© fin septembre des nĂ©gociations dans sa filiale de production pharmaceutique Sanofi Winthrop Industrie SWI afin d’amĂ©liorer la productivitĂ© de 20-25% au moyen de diffĂ©rents leviers possibles amĂ©nagement du temps de travail dans le cadre des 35 heures, polyvalence et polycompĂ©tence ». Lors de la prĂ©sentation de la stratĂ©gie 2020, Sanofi avait Ă©galement annoncĂ© un plan d’économies de 1,5 milliard d’euros, prĂ©vu d’ici Ă  2018, grĂące Ă  une simplification de l’organisation Ă  l’échelle mondiale les fonctions support en particulier et Ă  un portefeuille de produits plus affronter la montĂ©e des incertitudes ?Inflation, hausse des taux d’intĂ©rĂȘt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour Ă©voluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rĂ©daction des Echos est prĂ©cieuse. Chaque jour, nos enquĂȘtes, analyses, chroniques et Ă©dito accompagnent nos abonnĂ©s, les aident Ă  comprendre les changements qui transforment notre monde et les prĂ©parent Ă  prendre les meilleures dĂ©couvre les offres AttachĂ©e Ă  la rĂ©ussite de ses Ă©coliers, la Ville de Val-de-Reuil a dĂ©ployĂ© de trĂšs importants moyens matĂ©riels et financiers pour que la rentrĂ©e 2017 se dĂ©roule parfaitement. De nombreux travaux ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s dans les diffĂ©rentes Ă©coles et se poursuivront au fil de l’annĂ©e. De nouveaux Ă©quipements pĂ©dagogiques ont Ă©tĂ© installĂ©s tandis que les dispositions ont Ă©tĂ© prises pour dĂ©doubler efficacement les classes de CP dans plusieurs Ă©coles
 Le tout dans un contexte non seulement de hausse des effectifs et d’ouverture de classes, mais aussi d’inquiĂ©tudes quant Ă  la pĂ©rennitĂ© des aides de l’Etat. RentrĂ©e scolaire rolivaloise avec le Maire Ce lundi 4 septembre, plus de 2030 Ă©coliers ont repris le chemin des 14 Ă©coles maternelles et Ă©lĂ©mentaires qui ponctuent la ville. Jamais depuis 10 ans, Val-de-Reuil n’avait enregistrĂ© des effectifs aussi importants lors d’une rentrĂ©e des classes ils Ă©taient 1980 l’an passĂ©. Il Ă©tait donc logique que la Commune bĂ©nĂ©ficie de deux ouvertures de classe, l’une Ă  l’école Ă©lĂ©mentaire le Pivollet et l’autre, sous la forme d’un dispositif TrĂšs Petite Section TPS Ă  l’école Jean Moulin portant Ă  4 le nombre de TPS Ă  Val-de-Reuil. Une rentrĂ©e scolaire sans problĂšmes Marc-Antoine Jamet, fidĂšle de chaque rentrĂ©e scolaire depuis 16 ans, a saluĂ© individuellement les 111 enseignants contre 103 l’annĂ©e passĂ©e qui, dans les 99 classes que comptent dĂ©sormais la commune contre 92 lors de la prĂ©cĂ©dente rentrĂ©e, accueillent cette annĂ©e les Ă©lĂšves rolivalois. Plus de 2000 Ă©coliers et prĂšs de 4000 collĂ©giens, lycĂ©ens, apprentis et volontaires de l’EPIDE, cette affluence record est une belle rĂ©compense pour l’équipe municipale. Elle mesure ainsi le succĂšs de la politique qu’elle mĂšne depuis 15 ans. La plus jeune commune de France affiche, en effet, Ă  chaque rentrĂ©e, comme un pied de nez Ă  l’INSEE, une remarquable dynamique dĂ©mographique et urbaine. La logique de cet Ă©lan est assez simple de nouveaux logements fleurissent, de nouvelles familles s’installent, les Ă©coles se dĂ©veloppent ! DĂ©doublement des CP dans quatre Ă©coles Quatre Ă©tablissements rolivalois sont en effet concernĂ©s par la mesure gouvernementale qui vise, dans les Ă©coles situĂ©es en REP+, Ă  dĂ©doubler les classes de CP + pour aboutir Ă  un effectif maximal de 12 enfants par classe La rentrĂ©e scolaire 2017 prend, par ailleurs, une dimension particuliĂšre pour plus de la moitiĂ© des Ă©lĂšves de CP. Quatre Ă©tablissements rolivalois sont en effet concernĂ©s par la mesure gouvernementale qui vise, dans les Ă©coles situĂ©es en REP+, Ă  dĂ©doubler les classes de CP + pour aboutir Ă  un effectif maximal de 12 enfants par classe. Ce dispositif devrait permettre de mieux lutter contre les difficultĂ©s scolaires et de faciliter l’apprentissage des savoirs fondamentaux. Alors qu’à Val-de-Reuil, trois Ă©coles sont situĂ©es en REP + Coluche, Jean Moulin, Cerfs-Volants, la municipalitĂ© a voulu aller plus loin en y incluant Ă©galement l’école du Pivollet situĂ©e en REP qui disposait, dĂšs cette rentrĂ©e, de l’espace nĂ©cessaire pour dĂ©doubler une classe de CP. Sa localisation au cƓur du Germe de Ville et son recrutement justifiaient pleinement cette extension. Les services municipaux se sont livrĂ©s Ă  une vĂ©ritable course contre la montre tout au long de l’étĂ© Les services municipaux se sont livrĂ©s Ă  une vĂ©ritable course contre la montre tout au long de l’étĂ© pour amĂ©nager dans un dĂ©lai record les locaux nĂ©cessaires Ă  la mise en Ɠuvre de cette organisation nouvelle opĂ©rations d’autant plus complexes que les classes de CP dĂ©doublĂ©es doivent ĂȘtre regroupĂ©es en pĂŽle, donc dans des locaux contigus. Le maire et les responsables des services techniques ont donc dĂ©fini les espaces Ă  transformer entre le 15 et le 25 juillet dernier, avant de constater que les travaux avaient Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s jeudi dernier au terme de cinq heures d’inspection. 2,2 millions € de travaux dans les Ă©coles pour l’annĂ©e scolaire 2017/2018 ANRU ou pas ANRU, investissements ou pas investissements dans d’autres opĂ©rations, Val-de-Reuil consacre chaque annĂ©e 10 % du budget municipal aux Ă©coles. C’est une constante que Marc-Antoine Jamet a Ă©tablie dĂšs 2001. Tous les moyens sont dĂ©ployĂ©s chaque annĂ©e pour permettre aux Ă©lĂšves des sept groupes scolaires de bĂ©nĂ©ficier des conditions les plus favorables Ă  leur rĂ©ussite. Convaincue que la qualitĂ© de l’environnement de travail et de vie scolaire est fondamentale pour les Ă©coliers comme pour les enseignants, la municipalitĂ© a mis en Ɠuvre cet Ă©tĂ© un trĂšs important programme de travaux pour maintenir et entretenir, restaurer et dĂ©velopper son patrimoine scolaire. Ce programme se poursuivra tout au long de l’annĂ©e scolaire et toutes les Ă©coles seront concernĂ©es des rĂ©novations. Au final, ce sont plus de 2,2 millions € qui seront investis par la ville pour ses Ă©coles cette annĂ©e. Ce programme se poursuivra tout au long de l’annĂ©e scolaire et toutes les Ă©coles seront concernĂ©es des rĂ©novations. Au final, ce sont plus de 2,2 millions € qui seront investis par la ville pour ses Ă©coles cette annĂ©e LĂ©on Blum A LĂ©on Blum, le hall d’entrĂ©e a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rafraĂźchi, plusieurs fenĂȘtres de toit et l’alarme intrusion remplacĂ©es. Ces prochains mois, le parvis de l’école sera intĂ©gralement refait ainsi que la voie de l’Epargne qui longe l’établissement. L’accueil des Ă©lĂšves et l’accĂšs Ă  l’établissement y seront ainsi facilitĂ©s. Enfin la toile de Maillard reprĂ©sentant Juin 1936 et qui orne ce hall sera protĂ©gĂ©e. Jean Moulin A Jean Moulin, les pinceaux ont fonctionnĂ© Ă  plein rĂ©gime cet Ă©tĂ© pour prĂ©parer l’arrivĂ©e de la nouvelle classe de toute petite section oĂč les bambins ont Ă  leur disposition un mobilier flambant neuf. Le remplacement des baies vitrĂ©es et des sheds est programmĂ© avant la fin de l’annĂ©e pour un montant de 225 000 €. Ce chantier viendra clore les travaux de rĂ©fection des toits terrasses et le remplacement des centrales d’air rĂ©alisĂ©s l’hiver dernier. Dominos Aux Dominos, des travaux de peinture et des interventions sur la toiture ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s en attendant les gros chantiers d’accessibilitĂ© ascenseur et d’isolation phonique et thermique programmĂ©s cette annĂ©e. Cerfs Volants Aux Cerfs-Volants, les chantiers jeunes, mobilisĂ©s tout au long du mois de juillet, ont entiĂšrement repeint la façade extĂ©rieure cĂŽtĂ© parking. Dans cette Ă©cole, les Ă©tudes portant sur sa restructuration sont en cours dans le cadre du PNRU2. Le cabinet retenu pour effectuer ce travail remettra Ă  la Ville son diagnostic au cours du mois de septembre. Coluche A l’école Coluche, des menuiseries ont Ă©tĂ© remplacĂ©es tandis qu’une importante rĂ©habilitation dĂ©butera Ă  l’automne pour un montant de plus de 500 000 €. Louise Michel A l’école Louise Michel, c’est l’intĂ©gralitĂ© du dispositif de dĂ©tection incendie qui a Ă©tĂ© remplacĂ© en juillet/aout. Dans les toutes prochaines semaines, des travaux de stabilisation de la promenade des Tilleuls, dans la partie qui mĂšne parents et enfants du Gymnase LĂ©o Lagrange Ă  l’école, seront entrepris. Ils rendront ainsi ce chemin trĂšs frĂ©quentĂ© praticable y compris en cas de prĂ©cipitations. Et dans toutes les Ă©coles
 Enfin, d’ici la fin de l’annĂ©e civile, dĂ©buteront des travaux de sĂ©curisation de l’ensemble des Ă©coles de la ville. Un chantier d’un montant de 460 000 € consistera, notamment, Ă  surĂ©lever clĂŽtures et barriĂšres, Ă  installer des alarmes comprenant flashs et vidĂ©ophones. Des filtres flagrants » ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© posĂ©s sur les parois vitrĂ©es des classes cet Ă©tĂ© pour en masquer la visibilitĂ© depuis l’extĂ©rieur. Nouvelle organisation des centres de loisirs Marc-Antoine Jamet et son Ă©quipe travaillent dĂ©jĂ  Ă  la programmation d’importants travaux qui seront rĂ©alisĂ©s l’étĂ© prochain a> Marc-Antoine Jamet et son Ă©quipe travaillent dĂ©jĂ  Ă  la programmation d’importants travaux qui seront rĂ©alisĂ©s l’étĂ© prochain pour permettre que, Ă  partir de la rentrĂ©e 2018, toutes les classes de CP de Val-de-Reuil situĂ©es en REP malheureusement l’école LĂ©on Blum n’est pas concernĂ©e et toutes les classes de CE1 de REP et REP+ soient Ă  leur tour dĂ©doublĂ©es. La municipalitĂ© mettra un soin particulier Ă  offrir aux enfants et aux enseignants des conditions de travail confortables. Pour anticiper ce besoin en nouveaux locaux et compte tenu de la suppression brutale du financement des emplois aidĂ©s entĂ©rinĂ©e par le nouveau gouvernement, la Ville a mis en place une organisation diffĂ©rente de ses centres de loisirs. Jusqu’alors, elle disposait d’un centre de loisirs attenant Ă  chacune des Ă©coles soit 7 centres. DĂ©sormais, elle les regroupera sur trois sites ƒillets Rouges, Voie Blanche et TrĂ©sorerie auxquels s’ajouteront Ferme des Jeunes et centre de l’ElĂ©phant. NĂ©anmoins ds animateurs seront affectĂ©s dans chacune des Ă©coles pour les temps du midi et les temps d’activitĂ©s pĂ©riscolaires. Cette nouvelle organisation sera donc neutre pour les enfants qui continueront de bĂ©nĂ©ficier du mĂȘme niveau d’encadrement. Pour le mercredi, les enfants seront rĂ©partis entre ces trois structures. DĂšs l’an prochain, les espaces ainsi libĂ©rĂ©s pourront accueillir les nouvelles classes créées. Des tablettes numĂ©riques dans toutes les Ă©coles Enfin il faut donner de nouveaux moyens aux Ă©quipes Ă©ducatives pour qu’elles dĂ©veloppent une pĂ©dagogie numĂ©rique. Chacune des Ă©coles dispose dĂ©sormais d’une mallette de tablettes numĂ©riques financĂ©es par la ville. Dans les prochains jours, l’école des Cerfs-Volants, non pourvu jusqu’à prĂ©sent, se verra ainsi remettre deux mallettes de 27 IPAD avec vidĂ©oprojecteurs pour un coĂ»t de 16 500 € tandis que plusieurs ordinateurs seront confiĂ©s aux diffĂ©rentes Ă©coles Ă©lĂ©mentaires. L’équipement de Louise Michel qui avait Ă©tĂ© dĂ©robĂ© voici un an a Ă©tĂ© reconstituĂ©. Des nombreux vidĂ©oprojecteurs ont Ă©tĂ© installĂ©s au plafond des classes. L’ensemble du marchĂ© des photocopieurs ayant Ă©tĂ© renouvelĂ©, de nouvelles machines plus performantes s’installeront dans toutes les Ă©coles le 7 septembre. La semaine de 4 jours et demi maintenue Les Ă©coliers rolivalois reprennent cette annĂ©e le chemin de l’école 4 jours et demi par semaine Les Ă©coliers rolivalois reprennent cette annĂ©e le chemin de l’école 4 jours et demi par semaine. La Ville de Val-de-Reuil a choisi, en accord avec l’inspecteur de l’Education Nationale et la majoritĂ© des conseils d’école, de maintenir pour cette annĂ©e l’organisation actuelle. A Val-de-Reuil, les temps d’activitĂ© pĂ©riscolaire TAP fonctionnent particuliĂšrement bien, la ville y ayant consacrĂ© les moyens qui convenaient pour proposer des activitĂ©s gratuites de qualitĂ©. 70 % des Ă©coliers y participent chaque jour. Ce dispositif repose sur le professionnalisme et le talent des intervenants, que ce soit les animateurs de la ville, les enseignants volontaires, les services municipaux, le conservatoire, les associations ou les intervenants indĂ©pendants. PrioritĂ© Ă  la concertation Tout au long de cette annĂ©e 2017-2018, la municipalitĂ© consultera ses partenaires pour Ă©valuer l’évolution des demandes des enseignants comme des parents. Si l’organisation des rythmes scolaires devait ĂȘtre modifiĂ©e Ă  la rentrĂ©e 2018, cela ne pourrait se faire que dans la concertation et dans l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur des Ă©coliers rolivalois. Un point cependant, les enfants qui bĂ©nĂ©ficient de la semaine rĂ©partie sur quatre jours et demi, notamment lorsqu’ils proviennent de milieux dĂ©favorisĂ©s, bĂ©nĂ©ficient d’un encadrement sur cinq jours, ne sont pas livrĂ©s Ă  eux-mĂȘmes, suivent une Ă©ducation et un enseignement constants, bĂ©nĂ©ficient des services municipaux en permanence restauration, infirmerie, assistantes sociales. C’était cela aussi le sens de la rĂ©forme voulue par Nadjat Vallaud-Belkacem.

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